Beaux-arts, Essais littéraires et critiques. Littérature occidentaleWeidmann, 1846 |
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Beaux-arts, Essais littéraires et critiques. Littérature occidentale August Wilhelm von Schlegel Visualização integral - 1846 |
Beaux-arts, Essais littéraires et critiques. Littérature occidentale August Wilhelm von Schlegel Visualização de excertos - 1846 |
Palavras e frases frequentes
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Passagens conhecidas
Página 379 - Ce que je puis assurer , c'est que je n'en ai point fait où la vertu soit plus mise en jour que dans celle-ci ; les moindres fautes y sont sévèrement punies : la seule pensée du crime y est regardée avec autant d'horreur que le crime même ; les faiblesses de l'amour y passent pour de vraies faiblesses ; les passions n'y sont présentées aux yeux que pour montrer tout le désordre dont elles sont cause ; et le vice y est peint partout avec des couleurs qui en font connaître et haïr la difformité.
Página 348 - Oui , prince , je languis , je brûle pour Thésée : Je l'aime ; non point tel que l'ont vu les enfers , Volage adorateur de mille objets divers , Qui va du dieu des morts...
Página 374 - Oui, Prince, je languis, je brûle pour Thésée. Je l'aime, non point tel que l'ont vu les enfers. Volage adorateur de mille objets divers, Qui va du Dieu des morts déshonorer la couche"; Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche. Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi. Tel qu'on dépeint nos Dieux, ou tel que je vous voi.
Página 347 - Eh bien ! connais donc Phèdre et toute sa fureur : J'aime. Ne pense pas qu'au moment que je t'aime, Innocente...
Página 373 - Vous-même où seriez-vous, vous qui la combattez, Si toujours Antiope, à ses lois opposée, D'une pudique ardeur n'eût brûlé pour Thésée?
Página 375 - Moi-même, il m'enferma dans des cavernes som[bres, Lieux profonds, et voisins de l'empire des om[bres, Les Dieux, après six mois, enfin m'ont regardé : J'ai su tromper les yeux de qui j'étais gardé.
Página 348 - On ne voit point deux fois le rivage des morts, Seigneur. Puisque Thésée a vu les sombres bords, En vain vous espérez qu'un Dieu vous le renvoie, Et l'avare Achéron ne lâche point sa proie.* Que dis-je?
Página 345 - Vivez, vous n'avez plus de reproche à vous faire. Votre flamme devient une flamme ordinaire. Thésée en expirant vient de rompre les nœuds Qui faisaient tout le crime et l'horreur de vos feux. Hippolyte pour vous devient moins redoutable ; Et vous pouvez le voir sans vous rendre coupable.
Página 343 - Que ces vains ornements, que ces voiles me pèsent! Quelle importune main, en formant tous ces nœuds, A pris soin sur mon front d'assembler mes cheveux?
Página 344 - Dieux ! que ne suis-je assise à l'ombre des forêts ! Quand pourrai-je, au travers d'une noble poussière. Suivre de l'œil un char fuyant dans la carrière?